Ouvrage Sciences Po Grenoble 2016 – Composition française de Mona Ozouf

Si vous passez le concours 2016 de Sciences Po Grenoble pour entrer en 1ère année voici le livre qu’il vous faudra absolument lire et commander le plus vite possible :

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Composition française: Retour sur une enfance bretonne

Le livre Composition française est à lire dans le cadre de l’épreuve sur un ouvrage d’histoire contemporaine.

Vous aurez 4h pour répondre à deux questions sur l’ouvrage (chaque question notée sur 3) et une dissertation d’ouverture (à partir des thèmes de l’ouvrage) sur l’histoire et l’actualité (notée sur 14).

Résumé très court du livre : Composition française de Mona Ozouf

Thèmes de Composition française – Mona Ozouf :

universalisme, identités, Bretagne, France, histoire, enfance, religion, République

Cours résumé de Composition française – Mona Ozouf :

D’abord, Mona Osouf dresse le portrait de sa famille, en particulier ses parents (dont son père qui meurt très tôt), et de ses liens avec la Bretagne.

L’histoire se précise en racontant le parcours personnel de l’auteur : ses études à Saint Brieuc et Rennes, mais aussi son engagement politique en faveur du communisme dès 21 ans.

C’est également l’occasion pour Mona Ozouf de critiquer le livre de Françoise Morvan, Le Monde comme si, de réaffirmer ses propres valeurs, et d’analyser le lien entre universalisme, communautarisme, identités.

Fiche technique de l’ouvrage : Composition française de Mona Ozouf

Composition française. Retour sur une enfance bretonne
Mona Ozouf

Première parution en 2009
Collection Folio (n° 5137), Gallimard
Parution : 21-10-2010

Synopsis de l’ouvrage : Composition française de Mona Ozouf

La France a toujours vécu d’une tension entre l’esprit national et le génie des pays qui la composent, entre l’universel et le particulier. Mona Ozouf se souvient l’avoir ressentie et intériorisée au cours d’une enfance bretonne. Dans un territoire exigu et clos, entre école, église et maison, il fallait vivre avec trois lots de croyances disparates, souvent antagonistes. À la maison, tout parlait de l’appartenance à la Bretagne. L’école, elle, au nom de l’universelle patrie des droits de l’homme, professait l’indifférence aux identités locales. Quant à l’église, la foi qu’elle enseignait contredisait celle de l’école comme celle de la maison.

En faisant revivre ces croyances désaccordées, Mona Ozouf retrouve des questions qui n’ont rien perdu de leur acuité. Pourquoi la France s’est-elle montrée aussi rétive à accepter une pluralité toujours ressentie comme une menace? Faut-il nécessairement opposer un républicanisme passionnément attaché à l’universel et des particularismes invariablement jugés rétrogrades? À quelles conditions combiner les attachements particuliers et l’exigence de l’universel? En d’autres termes, comment vivre heureusement la «composition française»?

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